Bonsoir,
Voilà, comme prévu, nous sommes dimanche soir et l’atelier prend fin. Les commentaires ont été clos sur l’ensemble des textes, mais vous gardez bien entendu la possibilité de les consulter.
Merci à tous pour votre participation à cet atelier qui accompagne l’arrivée de l’été!
Ecrire-en-ligne prend désormais ses quartiers d’été (justement). Rendez-vous en septembre pour ceux qui le souhaitent.
Bonne fin de soirée et bonne continuation à vous tous!
Gaëlle
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Nous voici en juin. La fin de l’année scolaire approche, et avec elle : les vacances (pour ceux qui en prennent), la torpeur estivale, ce temps un peu suspendu où tant de choses s’arrêtent ou au moins ralentissent. Pour autant, j’ignore ce qu’il en est pour vous, mais en ce qui me concerne, avant d’atteindre les congés, au contraire, tout s’accélère. Il faut en quelque sorte mettre les bouchées doubles avant d’appuyer sur pause.
Alors je vous propose ce mois-ci de mettre en scène, justement, un « changement de rythme » dans la vie du personnage que vous créerez. Vous le confronterez à un de ces instants imprévus, que l’on ne voit pas forcément venir, où le rythme habituel du quotidien perd ses droits. Une situation où tout s’accélère, ou bien au contraire, où tout ralentit, voire s’arrête. Une sorte de « distorsion » temporelle, ou en tout cas, l’impression de vivre ce phénomène.
Envisagez une période de surchauffe au travail, ou bien un congé maladie qui contraint au repos. Une semaine en ermite loin de tout, ou bien un périple hyperactif dans un pays étranger à l’assaut du plus de monuments possible… Racontez-nous les causes et les conséquences de cette situation. Décidez si cette « distorsion » est voulue, ou imposée, si elle est heureuse ou douloureuse, si le personnage perd pied ou si au contraire il savoure, etc…
Et pour terminer, je vous propose d’introduire dans votre texte l’expression « la mer, quelle saloperie ! » (ce n’est pas moi qui le dis, ce sont les négresses vertes dans « voilà l’été », c’est de circonstance, il paraît – Et cet avis n’engage qu’eux!)