Atelier d'écriture de fictions par Francis Mizio
Charles était un petit garçon tout à fait ordinaire. Son maître à l’école le grondait bien de temps à autre pour un peu d’impertinence ou une leçon mal apprise, mais
> Lire la suiteTexte de Melle47 – « Le destin de Charles » *
L’anniversaire de ma fille aînée approche. Un vent de nostalgie me ramène en mémoire l’été précédent mes seize ans… Un merveilleux été passé avec deux de mes meilleures amies, Delphine
J’étais couché depuis quelques heures mais je n’arrivais pas à dormir. Quelque chose me trottait dans la tête. Cela avait commencé dans la salle d’attente du médecin. Je feuilletais, en
Comme au printemps dernier. Il ne faudrait pas qu’il s’habitue. J’avoue que ce n’est pas mon activité favorite. Une disparition inexpliquée. Il souhaite une collaboration aussi efficace que la dernière
Déchirer ou ne pas déchirer ? Telle est la question… soupir, moue perplexe. La déchirer puis la brûler, voilà qui règlerait le compte à cette photo qui surgit diablement. C’est toute
> Lire la suiteTexte de Khéa – « Déchirer ou ne pas déchirer ? » *
« Vingt quatre , rendez vous compte, Madame, vingt quatre serrures ou fermetures de sécurité à ouvrir et refermer chaque fois qu’elle voulait sortir de l’appartement et y revenir ». C’est ce
Ces mots prononcés par les neurologues dans cette pièce blanche et froide résonnaient encore en lui : « maladie grave », « incurable », « quelques mois tout au plus ». Ils leur avaient annoncé cela un
> Lire la suiteTexte de Ptiteco – « Et un jour on respire à nouveau » *
Au bout d’une plage, quelques rochers polis, abandonnés par les vagues. C’est marée basse. Pas une mouette. Pas de coucher de soleil flamboyant. Pas de ciel bleu. Juste une mer
> Lire la suiteTexte de Melle 47 – « L’infini des possibles… » *
Il est treize heures lorsque j’insère la clé dans l’orifice de la serrure. Le vestibule sombre m’apparaît soudainement étranger. L’air qui y flotte s’est densifié. L’ambiance est lourde. Je pénètre
Aujourd’hui peut–être… C’est un après-midi d’automne. Ciel bas, bourrasques, froid humide qui pénètre jusqu’à l’os et fait refermer autour de soi l’imperméable. Il va faire nuit tôt. À cette heure-ci,
J’étais prise dans une spirale infernale. Le temps filait. Et ces réflexions comme une ritournelle dans ma tête, «Je n’ai jamais assez de temps. Le temps passe trop vite. Je
Déceler dans le détail d’un accessoire ce quelque chose, comme une évidence, qui dessine le trait d’une personnalité. Tout se joua lorsqu’il fit ce 1/4 de tour sur sa chaise,
> Lire la suiteTexte de Victoria – « Une casquette bleue » *