Texte de Groux *
J’étais couché depuis quelques heures mais je n’arrivais pas à dormir. Quelque chose me trottait dans la tête. Cela avait commencé dans la salle d’attente du médecin. Je feuilletais, en
Atelier d'écriture de fictions par Francis Mizio
J’étais couché depuis quelques heures mais je n’arrivais pas à dormir. Quelque chose me trottait dans la tête. Cela avait commencé dans la salle d’attente du médecin. Je feuilletais, en
Des années qu’il préparait cela. Aujourd’hui était le jour où il allait prouver au monde entier ce qu’il valait. Il se posa quelques instants dans son grand canapé de cuir,
23 juin -6h10 Mal réveillée, je me dirige vers les toilettes comme à mon habitude. Une idée soudaine me pousse à passer par la salle de bain, prendre la petite
La porte du garage s’ouvre enfin. Le soleil m’aveugle, je sens une douce chaleur me recouvrir. Apres ces longs mois d’hiver passés sous une bâche au garage, me voilà prête
Des heures que je roule sous ce soleil de plomb. Je sens la sueur couler le long de mon dos, plaquant mon tee-shirt contre ma peau. Mes lunettes noires sur
Amélie a un petit gémissement en ouvrant les paupières. Elle cligne plusieurs fois des yeux, afin de s’habituer à la lumière blafarde au dessus d’elle. Sa tête lui fait affreusement
Amélie avait reçu son petit carton d’invitation 6 mois auparavant. Une invitation à un bal masqué, ambiance Venise. Ses yeux avaient pétillé à la lecture de ce thème. Elle adorait
Voici des fruits, des fleurs, des feuilles et des branches. C’est comme ça qu’on l’avait trouvée. Assise à même le sol, ses bras entourant ses jambes nues. Ses habits étaient
Etrange mélodie qui résonne dans ma tête. Ce n’est pas ma sonnerie de réveil habituelle mais elle me semble étrangement familière. Je garde les yeux fermés afin de m’imprégner encore
« – Pourquoi es-tu assise là, sans rien faire ? Sans rien dire ? – C’est toi qui me dis ça ? Toi qui es toujours au même endroit ? Que je n’entends jamais même
Le réveil avait sonné comme à son habitude aux premières lueurs du soleil. Je m’étais levé, maussade, comme chaque matin. D’un geste automatique, j’avais fait couler mon café pendant que
Je regarde tendrement mon vieil ours de mari. Il bricole quelque chose que je ne vois pas et je l’entends bougonner contre ses outils qui ne vont jamais. Je lui