Texte de Ketriken – « ODE 84 00 » *
Dans le métro Marcel Laporte se tient debout accroché à la barre juste devant les portes de sortie car il ne tient pas à être en retard. Il n’est d’ailleurs
Atelier d'écriture de fictions par Francis Mizio
Dans le métro Marcel Laporte se tient debout accroché à la barre juste devant les portes de sortie car il ne tient pas à être en retard. Il n’est d’ailleurs
Il est temps de partir. Elle glisse les pieds dans ses sandales en se tenant au chambranle de la porte d’entrée et s’accroupit pour attacher les boucles autour de ses
L’église du village est pleine à craquer. Certes, elle n’est pas très grande, mais en ce 12 juin 1965, c’est jour de communion. Tous les paroissiens sont là qu’ils aient
> Lire la suiteTexte de Ketriken – « Le bruit du bonheur » *
16H30 : Toute la classe des CM2 s’est vidée aux bruits des chaises tirées sur le sol, des cartables trainés sur les tables avant d’être calés sous le bras, des godillots
Il s’organise mentalement pour s’isoler du capharnaüm ambiant. Il fait progressivement abstraction des lumières artificielles et des bruits, des odeurs et des couleurs et du mouvement continu de la foule.
> Lire la suiteTexte de Ketriken – « Une balle, une seule » *
Philippe regarde attentivement une reproduction de dessin posée sur la table de cuisine : un âne et son cavalier le chevauchant à l’envers. Il la prend et la tend à Francis
> Lire la suiteTexte de Ketriken – « Le carnaval et le temps des fous » *
» Monsieur Cohen, notre dernière séance date d’il y a … cinq mois environ, non ? – Oui, c’est ça , c’était en mai. – Vous aviez, si ma mémoire
> Lire la suiteTexte de Ketriken – « Schlim, sa mère, et Gengis Khan » *
Christine revient de la cuisine une bouteille dans une main, un torchon dans l’autre, et remplit les verres vides en maugréant. – «… On a bien le temps de reprendre
Ça devait se terminer comme ça, c’était prévisible, et bien que George se soit représenté cette scène à de multiples reprises, il n’en était pas moins dépité. Il avait même
« Et cette petite caisse là ? c’est pas la même que les autres, il n’y a pas de nom, tu sais ce qu’il y a dedans ? » Bertrand et marc