Texte de Khéa – « Lettre manquante » *
Ce matin, c’est opération “courrier”. Elle se déroule en trois étapes ; la cuisine en est le QG, je m’installe au bout de la table en formica, comme si je
Atelier d'écriture de fictions par Francis Mizio
Ce matin, c’est opération “courrier”. Elle se déroule en trois étapes ; la cuisine en est le QG, je m’installe au bout de la table en formica, comme si je
J’ai peur des souris. Rien d’extraordinaire. Mais la peur, pour être véritable, doit-elle être originale ?
Jean-Cyrille, baron de la Chézotrou ne s’était jamais ennuyé de sa vie. La grande différence d’âge avec sa sœur en ayant pratiquement fait un fils unique, il avait grandi en
Il y a quelques temps (je ne sais plus comment je suis tombé dessus) j’ai lu un article du Monde (je crois) qui évoquait au détour d’une critique littéraire l’ouvrage,
→ Rêve n.m. -1- Suite de phénomènes psychiques (d’images, en particulier) se produisant pendant le sommeil. -2- Construction de l’imagination à l’état de veille, destinée à échapper au réel, à
– Sarah… ton père est mort. – … – Je te préviens c’est tout. Je fais venir le phono. – Je viendrai pas.
Depuis quelque temps, le petit village de Troulabas s’enfonçait dans l’inquiétude, voire la panique. Tout avait commencé au cœur de ce bel été où le ciel restait invariablement bleu, traversé
> Lire la suiteTexte de Ktou14 – « Le sculpteur d’ombres » *
Mai 1929 Citadine depuis peu, idéaliste peinée de constater égoïsme intérêts presque partout, souffre solitude, épouserait jeune homme instruit, moderne, sans snobisme, sentiments délicats. Suis brune, physique agréable, 25 ans,
Novembre 1962 L’électrophone craquète un instant puis une voix à la fois enfantine et sensuelle s’élève et glisse sur le papier peint aux motifs orangés du petit salon de l’appartement
> Lire la suite1962 (Novembre) – Arlette et Edouard – « Virage dangereux », par Fantomette44
Jean Delacher naquit à Coucy-le-Château, au Nord de Soissons, en 1896. Il resta fils unique. Son père était bourrelier, sa mère modiste. Ils vivaient heureux, dans leur maison accolée au
> Lire la suite1922 (Juillet) – Jean – « Quand un vicomte… », par Trados
Bip, bip, bip… Une grosse paluche se soulève pour s’aplatir lourdement sur le réveil. Un grognement l’accompagne. Puis la couette se déploie.
Elle est la, tapie dans un coin, embusquée du côté droit où elle a établi son camp, depuis le premier jour de son invasion sans préavis et avec fracas.