Texte de Ketriken – « L’enrubanage » *
« Et cette petite caisse là ? c’est pas la même que les autres, il n’y a pas de nom, tu sais ce qu’il y a dedans ? » Bertrand et marc
Atelier d'écriture de fictions par Francis Mizio
« Et cette petite caisse là ? c’est pas la même que les autres, il n’y a pas de nom, tu sais ce qu’il y a dedans ? » Bertrand et marc
L’après-midi se traîne paresseusement sous un ciel au bleu profond comme la Normandie en offre rarement. Presque méditerranéen. Installée sous le parasol à la table du jardin, elle finit de
« Quand je n’ai pas de bleu, je mets du rouge », aurait dit Pablo Picasso. Pour ce mois de septembre, lors duquel commencent à moins se montrer la lumière et le
Je n’ai pas besoin de musique pour danser. Pas ce soir. Pas cette nuit. Les battements de mon cœur créeront le rythme de ma danse, et les étoiles se changeront
Dimanche matin. Dix heures. Pas trop tôt, ni trop tard. Depuis peu, j’évite les « trop ». Il fait encore doux, l’été joue les prolongations. Je décide d’y aller en
J’ai travaillé dans une direction de ministère durant plusieurs années à deux pas du musée Beaubourg à Paris, et à autant de distance du BHV de la place de l’Hôtel
C’était l’avant dernier samedi de juin. On s’était retrouvées comme à notre habitude, chez moi, avec Marine et Selma. On contemplait le plafond, allongées côte-à-côte sur le sol. Nous gardions
> Lire la suite1990 (Juin) – « Les feux d’artifice de 1990 » – par Dilan
Paris, mars 1898 L’après-midi avait cédé sa place au début de soirée, Léonce quittait son lieu de travail, le siège social de la Société Générale au 54 rue de Provence
Après une année fort riche (on a vu naître ici de très beaux textes, des émotions, des rires…) Écrire-en-ligne va faire une pause pour l’’été (hormis la publication prochaine des
> Lire la suitePause estivale ! Reprise le 6 septembre… bonnes vacances !
Ce matin, Lili a pris son poste sur la terrasse plus tôt que d’habitude parce qu’elle ne voulait pas louper le passage du laitier. Ils ont réinstauré la tradition dans
Carole enlève ses tennis blanches et les laisse dans le vestiaire, avant d’enfiler sa blouse orange, celle des auxiliaires de puériculture. Elle défait sa montre, son bracelet et noue ses
Ces petits riens qui me venaient de vous Ce sont ces petits riens que j’ai mis bout à bout, Ces petits riens qui me venaient de vous. Gainsbourg